Quartier à éviter à Lyon
Lyon : Presqu’île ou Guillotière, quel arrondissement éviter en 2025 ?

Lyon : Presqu’île ou Guillotière, quel arrondissement éviter en 2025 ?

Sommaire

S’installer à Lyon, au cœur de la ville, c’est un vrai dilemme que beaucoup d’entre nous partagent : on succombe à l’élégance haussmannienne de la Presqu’île ou bien on se laisse séduire par l’incroyable diversité de la Guillotière ? D’ailleurs, qui parmi vous n’a jamais entendu ces débats passionnés entre amateurs de patrimoine et amoureux des ambiances bouillonnantes ? Nous, on se retrouve chaque année à en discuter avec nos proches, hésitant entre le confort rassurant d’une adresse côté Rhône ou le foisonnement culturel de l’autre rive.

Mais honnêtement, en 2025, sur quel quartier devons-nous miser pour notre sérénité quotidienne ? Ou, au contraire, lequel éviter si l’on veut limiter les mauvaises surprises ? On vous propose qu’on décortique tout ça ensemble, dans le détail… Prêt à explorer les options qui feront peut-être basculer votre choix ?

Presqu’île ou Guillotière : quelles différences au quotidien en 2025?

Avant de se prononcer, on prend le temps de s’attarder sur ce que nous réservent réellement ces deux quartiers. Et vous, quelle est votre priorité : l’allure, l’énergie, la sécurité ?

Quelles atmosphères et quelle dynamique de vie vous correspondent ?

  • Vous voyez la Presqu’île : vous pensez forcément Bellecour, Cordeliers, Hôtel de Ville… Une vraie carte postale à la lyonnaise, non ? Ses façades impeccables, ses monuments classés, tout y respire l’histoire. Mais si, au contraire, vous rêvez de ruelles bohèmes, de street-art à chaque angle et d’un marché oriental vivant, alors la Guillotière vous parlera avec ses mille couleurs.
  • Et vous, qu’est-ce qui vous attire : une atmosphère qui change du matin au soir ou une vraie stabilité ? Le ballet de familles et d’actifs laisse place, la nuit tombée, à la fête sur la Presqu’île, entre Terreaux et les berges. Parallèlement, la Guillotière se transforme en royaume des étudiants et des artistes, où les cafés alternatifs, lieux culturels, marchés ouverts et petits concerts s’invitent souvent jusque tard.
  • On le sent aussi dans les profils qui investissent le quartier : la Presqu’île séduit ceux qui misent sur l’élégance, le standing et le côté pratique d’être « au centre de tout ». Tandis que la Guillotière joue la carte de l’accessibilité, de la jeunesse, mais aussi d’un joyeux désordre qui attire les curieux… et fait fuir les plus frileux. Et vous, seriez-vous tenté par l’aventure ou préférez-vous le classique ?

Que disent les réputations sur la Presqu’île ou la Guillotière ? Cela vous influence-t-il ?

Ouvrez n’importe quel site d’actu locale ou réseau social et vous retrouvez toujours le même contraste : on vante la Presqu’île pour son patrimoine tandis que la Guillotière se retrouve souvent sous les projecteurs… pour des histoires d’insécurité. Mais, honnêtement, quelle est la vraie vie derrière les gros titres ?

On se souvient de ce commerçant croisé Place Gabriel Péri qui nous disait, sourire en coin :

« Ici, si vous prenez le temps de connaître vos voisins, vous trouvez vraiment votre place… Mais il arrive que la presse amplifie un peu tout ! »

Vous, votre ressenti il penche vers quoi ? À force d’en parler autour de nous, on constate un regard beaucoup plus nuancé : les habitants de la Guillotière sont ultra attachés à leur quartier, avec ce côté humain, solidaire, mélange de cultures. Tandis que sur la Presqu’île, on apprécie ce cadre méticuleusement entretenu, mais on reste attentif sur les animations de nuit et la sécurité. Finalement, ça ne se vit jamais pareil, selon nos horaires, notre âge, notre style de vie… Et vous, vous êtes plutôt réseaux sociaux ou discussions de terrasse pour choisir votre coin préféré ?

À quoi ressemblent vraiment les deux quartiers ? Nos points forts — et nos bémols

CritèrePresqu’îleGuillotière
AmbianceBourgeoise, animée, historiquePopulaire, cosmopolite, alternative
SécuritéGlobalement élevéeEn évolution, parfois polémique
Vie nocturneTouristique et branchéeÉtudiante, éclectique
Accès aux transportsCentral, multi-modalTrès bien desservi

Maintenant qu’on a cerné l’âme de chaque quartier, on se pose forcément la question des aspects très concrets : votre quotidien sera-t-il plus facile, plus serein, plus abordable d’un côté ou de l’autre ? Voilà le vrai tournant du choix, clairement.

En 2025, existe-t-il des secteurs à éviter ? Où se situent les vrais défis ?

On se demande toujours « jusqu’où aller trop loin »… Alors, creusons ensemble, sans filtre, les critères qui soulèvent parfois nos inquiétudes.

Sécurité, incivilités : sommes-nous bien informés ?

Les chiffres des forces de l’ordre parlent d’eux-mêmes et nous interpellent : oui, les agressions physiques baissent sur la Presqu’île (moins 7 % en 2024, selon la Préfecture) tandis qu’à la Guillotière, la tendance est stable mais les plaintes pour incivilités et vols à la tire restent fréquentes. La municipalité prend le sujet à bras-le-corps, en augmentant caméras, présence policière et médiateurs, notamment autour de Gabriel Péri et Gambetta. Mais, concrètement, êtes-vous du genre à rentrer tard ou à préférer les balades diurnes ?

Certains secteurs sont clairement en vigilance : quelques rues autour de la place de la Guillotière nécessitent une attention plus soutenue après minuit. De l’autre côté, la Presqu’île rassure par sa surveillance constante, surtout les soirs de week-end avec la foule. Rien n’est figé, mais c’est toujours rassurant de savoir où nous mettons les pieds, n’est-ce pas ?

Il fait bon vivre ? Et la qualité de l’environnement, on en parle ?

L’état des rues, la propreté, c’est important pour nous tous. Sur la Presqu’île, franchement, entre les balayeuses matinaires et le mobilier urbain restauré, on sent que la municipalité veille au grain. Côté Guillotière, malgré un vrai effort sur la réhabilitation des squares et la création de rues piétonnes, il reste des recoins moins bien entretenus, entre tags décoratifs et bacs débordants, surtout lors des grands événements festifs. Êtes-vous sensible à ces détails ou préférez-vous l’énergie d’un quartier qui vit, même au prix du désordre ?

Ajoutons que la vie nocturne, les rassemblements impromptus et la circulation dense amènent leur lot de bruit. Certains d’entre nous adorent cette effervescence, d’autres s’en lassent vite. Où vous situez-vous ?

Quel budget logement pour un quotidien serein ?

QuartierLoyer moyen/m2Taux de vacance
Presqu’île19 €/m23 %
Guillotière15 €/m27 %

C’est LE point de crispation ! Celles et ceux d’entre nous qui cherchent de la surface à prix doux lorgnent sur la Guillotière : le loyer y est en moyenne 20 % inférieur, mais il y a plus de roulement, plus d’offres à trier, parfois des appartements moins bien tenus. Sur la Presqu’île, on vise le standing, mais à ce prix-là, vous acceptez de faire un peu moins de mètres carrés ou de prendre le temps de bien choisir. À chacun de voir selon ses priorités : confort ? Praticité ? Budget ? Qu’est-ce qui pèse le plus pour vous ?

Comment choisir ou éviter un arrondissement selon votre profil ?

On ne vit pas tous Lyon de la même manière, alors pourquoi choisir aveuglément sans réfléchir à nos besoins profonds ?

Familles, jeunes actifs : vos critères font-ils la différence ?

Pour les familles, la proximité des écoles, crèches et espaces verts, ça pèse lourd dans la balance. Sur la Presqu’île, il faut aimer la ville dense et historique, même si l’offre scolaire est top, avec des établissements publics et privés variés. La Guillotière attire ceux d’entre vous qui cherchent une dynamique associative et plus de mixité, mais il faut s’organiser car les places en crèche sont recherchées. Et pour l’accès au travail, tout le monde y gagne : métro, tram, vélo, tout converge ici. La Presqu’île concentre les grosses entreprises, tandis que la Guillotière est à deux pas des campus, du secteur médical et des startups. Alors, vous privilégiez l’école ou le bureau ?

Étudiants, fêtards : où s’éclater sans se ruiner ?

La question se pose chaque année entre nous : vaut-il mieux investir la Guillotière pour ses concerts impromptus, ses petits bars et une vie culturelle vibrante ? Ou préférez-vous la Presqu’île, ses institutions, ses salles mythiques, ses rooftops élégants, quitte à croiser une clientèle plus éclectique et exigeante ? Beaucoup d’étudiants assument d’opter pour l’énergie du quartier même si cela signifie moins de calme ou des logements un peu plus « roots ». D’autres font le pari inverse. Et vous, le choix ambiance ou confort, vous arbitrez comment ?

Doser animation urbaine et tranquillité : êtes-vous prêt à cohabiter avec la ville ?

On ne va pas se mentir, le degré de tolérance au bruit, à l’animation, à la mixité est souvent décisif. Si vous vous retrouvez dans l’adrénaline du quotidien, appréciant rencontres et spontanéité, alors la Guillotière a toutes ses chances. Ceux qui visent le calme choisiront les rues tranquilles de la Presqu’île, voire ceux du 2e, qui restent très surveillés et sécurisés, moyennant un/des loyers plus élevés. À chacun sa balance : et vous, vous êtes prêt(e) à quelques concessions pour la vie citadine ?

Finalement, nous avons tous nos petites manies, nos seuils de tolérance, et notre propre vision d’un quartier rêvé. Là où certains voient une contrainte, d’autres y flairent le potentiel ou la pépite à ne pas manquer.

La Presqu’île et la Guillotière : l’évolution qui nous attend, vous êtes prêt(e) ?

On garde l’œil sur l’avenir, car 2025 et les années suivantes s’annoncent pleines de surprises. Prêts à démarrer un nouveau chapitre dans la ville ?

Quels projets urbains vont transformer votre quotidien ?

Entre nous, qui n’a jamais rêvé d’une ville plus harmonieuse ? Les projets ne manquent pas : nouveau visage pour les quais du Rhône (de la Guillotière à Perrache), rénovation de Gabriel Péri, création de nouveaux espaces piétons sur la Presqu’île… Tous, on guette le début d’un chantier qui, pour certains, revalorisera notre quartier, notre appartement, notre commerce. Les agents immobiliers et investisseurs sont déjà sur le pont. Et vous, imaginez-vous votre quartier complètement métamorphosé dans trois ou cinq ans ?

Sur la sécurité, la captation d’énergie se fait sentir : patrouilles de police multipliées, médiateurs dans les rues, vidéosurveillance, rien n’est laissé de côté. Les habitants de la Guillotière misent sur cette dynamique pour apaiser les tensions, tandis que la Presqu’île s’offre une tranquillité toujours plus forte. Observe-t-on déjà les résultats autour de vous ? Racontez-nous !

Lyon en 2025-2028 : va-t-on changer de regard sur nos quartiers ?

On sent déjà les prémices d’une nouvelle histoire urbaine : l’offre culturelle explose, les tiers-lieux et festivals s’installent, la vie associative s’invite même sur les façades. Mélanger ouverture sociale et apaisement, c’est tout un pari… Et nous sommes nombreux à espérer que chaque quartier retrouve – ou conserve – son âme. On croise régulièrement un voisin qui nous souffle : « Ce qui fait la richesse ici, c’est tout ce qu’on construit ensemble ». Et vous, vous le ressentez aussi ?

Au bout du compte, ce sont nos priorités, nos styles de vie qui scellent le choix : recherchez-vous la quiétude et le patrimoine ou rêvez-vous d’un quartier-monde ? Faites le test : posez-vous la question ce soir, demandez à votre entourage, et surtout… dites-nous : où débuterez-vous votre nouvelle aventure urbaine ? La Presqu’île ou la Guillotière ? On est curieux d’avoir votre ressenti… et, qui sait, de croiser certains d’entre vous dans ces rues demain !

Notre foire aux questions sur les arrondissements et quartiers de Lyon

Quels sont les 9 arrondissements de Lyon ?

Si vous découvrez Lyon ou que vous cherchez à mieux la comprendre, voici le cœur de son organisation : 9 arrondissements, chacun avec sa propre personnalité. On commence par la Presqu’île (1er), puis on monte à la Croix-Rousse (4e), on file vers la chic rive gauche du Rhône (6e), on traverse pour redescendre vers Gerland (7e) ou les hauteurs de Sainte-Foy avec le 5e. Le 2e arrondissement ? C’est l’élégance des places Bellecour et Carnot. Le 3e est dynamique, central, souvent sous-estimé. Le 8e sent bon la diversité et les maisons de ville. Et le 9e ? Un ancien coin ouvrier en pleine transformation. Ce que j’adore à Lyon, c’est justement ce contraste : on change d’ambiance à chaque arrondissement. C’est comme visiter plusieurs villes… sans jamais quitter la même. Vous les connaissez tous ? Le plus dur, c’est de choisir son préféré.

Quels sont les meilleurs arrondissements de Lyon ?

Alors là, tout dépend de votre vibe. Vous aimez l’animation, les restos, les afterworks ? Le 1er et le 2e, c’est du concentré de vie urbaine. Besoin d’espace vert et de calme feutré ? Le 6e, avec ses belles façades et le parc de la Tête d’Or, est un must. En quête de mixité, de quartiers qui vivent au rythme des gens ? Regardez le 7e, vraiment en plein essor. Le 4e, c’est pour les âmes bohèmes qui rêvent de ruelles pavées et d’ateliers d’artistes. Perso, je trouve que le 3e mérite plus d’amour qu’il n’en reçoit : il est pratique, bien desservi, et on y vit vraiment bien. Bref, le “meilleur” arrondissement, c’est celui qui colle à votre vie. Famille, solo, étudiant, senior… chacun a son cocon à Lyon. Et parfois, il suffit d’une terrasse, d’un square ou d’une boulangerie pour tomber amoureux.

Quels sont les arrondissements de Lyon ?

Lyon, c’est un peu comme un millefeuille urbain. 9 couches, 9 arrondissements, tous numérotés dans l’ordre où ils ont été créés (oui, c’est plus logique que Paris sur ce coup-là). Du 1er arrondissement perché sur les pentes de la Croix-Rousse, jusqu’au 9e, tourné vers Vaise et la Saône, chaque secteur a son histoire. Le 2e, c’est la vitrine, la Presqu’île chic. Le 3e, c’est le pragmatisme bien desservi, avec la Part-Dieu au centre. Le 4e, c’est un village dans la ville, poétique et perché. Le 5e, c’est Fourvière, les vieux murs et les pierres qui parlent. Le 6e ? Le classique indémodable. Le 7e, c’est l’étudiant en baskets et le hipster bio. Le 8e, c’est la banlieue en mieux. Et le 9e, c’est la promesse d’un nouveau départ. À Lyon, les arrondissements se parlent, se croisent, et vous racontent une ville en mouvement.

Quels sont les meilleurs quartiers de Lyon ?

Franchement, on ne joue pas aux favoris… mais on a tous nos petits chouchous. Si vous aimez le charme ancien, le Vieux-Lyon et ses traboules sont un trésor vivant. Pour les vues panoramiques et le charme bohème, la Croix-Rousse est incontournable. Le quartier de la Guillotière, c’est le grand mix culturel, un peu brut mais plein d’âme. Monplaisir, dans le 8e, c’est le “village-ville” avec ses petites maisons et ses commerçants sympas. Vous cherchez l’élégance ? Direction les Brotteaux dans le 6e ou Ainay dans le 2e : immeubles bourgeois, calme et raffinement. Et puis il y a ces coins moins connus mais hyper agréables, comme Montchat ou Champvert, loin des projecteurs mais où la vie est douce. En vrai, le meilleur quartier, c’est souvent celui où vous vous sentez bien dès la première promenade. Celui où vous savez que vous reviendrez.

Quel est l’arrondissement le plus chic de Lyon ?

S’il fallait choisir le plus chic, le 6e remporte la palme sans trop de débat. Dès qu’on évoque le boulevard des Belges, les Brotteaux, les façades haussmanniennes… on sent le raffinement. Ici, tout respire le standing feutré : écoles privées, boutiques de créateurs, immeubles de prestige. Et puis il y a le Parc de la Tête d’Or, l’un des plus beaux d’Europe. Autour, les rues sont calmes, les prix grimpent, les terrasses sont élégantes. Ce n’est pas ostentatoire, mais clairement haut de gamme. Si vous cherchez un cadre de vie “grand classique” à la lyonnaise, avec des bonnes adresses et une vraie tranquillité, le 6e coche toutes les cases. Attention : qui dit chic dit cher. Mais parfois, juste se balader ici, c’est déjà se faire du bien. Un arrondissement qui a du style sans en faire trop… le genre de chic qu’on admire sans se sentir exclu.

Quel est le quartier le plus riche de Lyon ?

On parle ici d’un petit triangle doré qui fait beaucoup d’envieux : les Brotteaux, dans le 6e arrondissement. C’est ici que les prix s’envolent, que les appartements haussmanniens rivalisent de moulures, que les écoles réputées pullulent. Le coin autour du boulevard des Belges, juste en face du parc de la Tête d’Or, est le repaire discret des familles aisées et des professions libérales bien installées. Ce n’est pas bling-bling comme certaines banlieues huppées, non. Ici, on cultive le luxe tranquille, l’immobilier de prestige bien ancré dans l’histoire lyonnaise. Les restaurants sont fins, les voitures garées souvent électriques (mais haut de gamme), et le silence… royal. Si vous cherchez à investir dans une valeur sûre, ou simplement à comprendre où se concentrent les plus hauts revenus à Lyon, c’est dans ce quartier que ça se passe. Mais rassurez-vous, Lyon a plein de belles surprises ailleurs aussi.

Marie-Christine Champenois
Bonjour!

Je suis passionnée par l’art de transformer les espaces en des lieux uniques et inspirants.

Spécialiste de l’immobilier et passionnée par l’art de transformer les espaces, Marie-Christine Champenois partage son expertise sur les aides immobilières, l’entretien des propriétés, et les projets de travaux. À travers son blog, elle explore également l’univers de la décoration et des jardins, en offrant des conseils inspirants pour créer des lieux de vie qui reflètent vos goûts et vos besoins. Marie-Christine vous accompagne dans chaque étape pour optimiser votre habitat et en faire un véritable havre de paix.
dfg
Une multitude de conseils en déco, travaux, immobilier, et entretien de la maison pour vous guider au mieux et trouver de l’inspiration
Copyright © 2022 | Tous droits réservés.