Quand le projet de s’installer à Marseille prend forme dans nos têtes, vous imaginez bien toutes les questions qui affluent, n’est-ce pas ? Nous, on s’est tous déjà demandé : “Dans quel quartier pourrais-je poser mes valises, sans avoir la boule au ventre pour ma famille ou mes proches ?” La réputation de la cité phocéenne est vive, contrastée, parfois excessive… Et vous, vous en pensez quoi ? Entre la lumière unique, les paysages spectaculaires et les mille murmures sur “la sécurité”, on ne sait jamais sur quel pied danser.
C’est simple : Marseille fait rêver, attire, secoue… mais, avouons-le, interpelle beaucoup sur le plan de la tranquillité urbaine. Vous aussi, vous avez déjà hésité ? On en a fait l’expérience autour de nous : tout le monde a un avis bien tranché sur les quartiers nord, souvent assimilés, à tort ou à raison, à tous les excès. Pour vous aider à avancer avec nous en toute sérénité, on a ratissé l’actualité, échangé dans les rues, confronté les chiffres et les témoignages… Le but ? Que vous puissiez, à votre tour, trouver LE quartier qui “colle” à votre vie sans transiger sur la sécurité. On y va franchement : et si on levait ensemble le voile sur les coins à esquiver pour vivre Marseille l’esprit léger ?
Le contexte sécuritaire à Marseille : où en est-on vraiment ?
Avant de rentrer dans le vif du sujet avec les zones à éviter, prenons une respiration ensemble : dans quelle réalité sommes-nous en train de réfléchir à notre vie marseillaise ?
Que révèlent les chiffres les plus récents sur la sécurité à Marseille ?
Vous vous demandez peut-être : qui croire quand on parle d’insécurité à Marseille ? On l’avoue, les rapports de la police et de l’INSEE entre 2023 et 2024 ne disent pas tous la même chose. Certains quartiers affichent une hausse vertigineuse des incidents, d’autres amorcent (timidement) un apaisement. Cambriolages, braquages, agressions – chaque type d’événement cible différemment chaque secteur. Au bureau comme dans nos familles, on s’est tous déjà inquiété pour un proche revenant tard du 13e, du 14e ou du 15e arrondissement.
Mais derrière chaque courbe, il y a de vraies histoires : vous aussi, avez-vous ressenti cette solidarité entre voisins qui tente, parfois, de faire “rempart” à l’ambiance tendue ? D’ailleurs, la préfecture souligne : plus de 12 500 faits de violence contre les personnes l’an dernier, et pas loin de 3 000 cambriolages de logements. Pas étonnant que la ville investisse désormais dans la répartition des forces de l’ordre et les caméras de surveillance, même si, soyons honnêtes, ce chantier de la sécurité restera toujours mouvant et collectif.
La stigmatisation de certains quartiers : c’est vraiment mérité ?
Vous avez déjà entendu : « Tu vas dans les quartiers nord ? Ouvre l’œil… » Vous vous reconnaissez ? Nous aussi… Pourtant, la rumeur écrase souvent la réalité. C’est vrai, certains gros titres ou vidéos sur les réseaux déroutent. Mais avez-vous déjà rencontré ces habitants qui, à force de s’impliquer, changent la petite musique locale ?
Bien sûr, la vie n’est pas rose partout. Chômage qui flambe, pauvreté qui s’enracine, écoles désertées : on comprend alors que certains coins traînent une image tenace. Pourtant, Marseille ose sortir du schéma. Elle multiplie les forums de quartier pour permettre à chacun de retisser du lien et de sortir, ENSEMBLE, des clichés. Comme cette responsable associative qui nous confiait : “La différence entre un quartier stigmatisé et un quartier vivant, ça se joue parfois à un groupe de voisins motivés et une poignée d’élus transparents.” Eh oui, il fallait oser… et ça bouge.
Huit zones à éviter à Marseille : alors, où pose-t-on nos valises ?
On se parle franchement ? On a tous une histoire ou une anecdote sur telle cité nord ou telle rue du sud-est. D’ailleurs, qui ne s’est jamais fait recommander d’éviter tel coin “après 19h” ?
Les quartiers nord : faut-il vraiment s’en méfier autant ?
Impossible d’aborder la question sans évoquer les 13e, 14e, 15e, 16e arrondissements marseillais, vous n’êtes pas d’accord ? On pense tout de suite à La Castellane, Les Flamants, La Busserine, Les Rosiers. Ces cités ont leur lot d’images fortes : trafic, incivilités, bruits du quotidien… On le sait, quand la police intervient, ça fait souvent la Une.
Pourtant, on croise aussi, dans ces rues, des familles entières qui ne rêvent que de jouer tranquilles loin des rivalités de bandes. Certains chiffres (agressions, vols, dégradations) y sont réellement élevés, il faut le dire. Mais faut-il résumer ces quartiers à la peur permanente ? Que vous soyez nouveaux venus ou marseillais de cœur, attention à ne pas tout voir en noir ou blanc.
Noailles : le centre-ville, entre authenticité et inquiétude ?
Noailles, on y passe, on y vit, on le traverse pour acheter ses épices… Mais vous souvenez-vous de l’effondrement tragique de la rue d’Aubagne en 2018 ? Depuis, l’ambiance a changé. Le secteur tente de se relever, mais la délinquance et les difficultés de mixité sociale persistent, du moins selon beaucoup d’entre nous.
On le dit franchement entre amis ou en famille : pour une première installation, étudiant ou parent, on évite les ruelles faiblement éclairées après une certaine heure. Alors, faut-il rayer ce quartier de la carte ? Ou y croire demain grâce aux habitants qui se battent pour lui redonner son âme ?
Sud et Est de Marseille : les “bons plans” sont-ils vraiment sûrs ?
Parfois, on craque pour un loyer attractif à La Cayolle, à Saint-Loup ou du côté d’Air Bel. Qui n’a pas déjà fait marcher Leboncoin tard le soir en espérant la bonne affaire ? Mais attention, le revers du ticket d’entrée abordable, ce sont parfois des bruits de voisinage, parties communes délabrées et une délinquance locale à l’affût.
La mairie rénove beaucoup dans ces coins. Vous l’avez peut-être vu, les chantiers s’accumulent, les espoirs montent. Est-ce que ça suffit pour s’engager les yeux fermés ? On vous recommande, comme nous, de bien vérifier la réputation de l’immeuble, l’ambiance au pied de l’entrée, et, si possible, de vous assurer que le logement dispose de quelques gages de sécurité. Prendre le temps d’observer, d’écouter, c’est déjà mettre toutes les chances de son côté.
Quels sont les huit secteurs à surveiller de près à Marseille ?
Pour y voir plus clair, on a regroupé les quartiers qui reviennent systématiquement dans les discussions entre voisins, agents immobiliers, amis et collègues. Vous retrouverez ci-dessous un comparatif avec nos astuces pour limiter les risques lors de vos recherches ou de vos déplacements.
Quartier | Niveau de risque | Types d’incidents | Conseils pratiques |
---|---|---|---|
La Castellane | Très élevé | Trafic, agressions | Éviter la nuit, vigilance accrue |
Les Flamants | Élevé | Cambriolages, dégradations | Ne pas stationner longtemps |
La Busserine | Élevé | Incivilités, altercations | Utiliser des itinéraires alternatifs |
Les Rosiers | Élevé | Trafic, vols à l’arraché | Prudence pour les piétons |
Noailles | Moyen | Pics de délinquance | Préférer les axes fréquentés |
La Cayolle | Moyen | Dégradations, nuisances | Vigilance le soir |
Saint-Loup | Moyen | Petite délinquance | Se renseigner localement |
Air Bel | Moyen | Vols, nuisances | Choisir logement sécurisé |
- Petit conseil d’ami : Pour nous tous, privilégier les avenues éclairées et jeter un coup d’œil aux retours d’expérience des résidents sur les quartiers concernés, c’est se donner une longueur d’avance.
Quels critères surveiller pour être bien chez soi à Marseille ?
On a souvent entendu autour de nous : “Mais toi, tu regardes quoi, concrètement, avant de signer un bail à Marseille ?” Les réponses vous surprendraient sûrement. Alors, on fait le point ensemble ?
Quelles infos examiner avant de s’engager ?
Vous avez déjà testé la cartographie de la sécurité à Marseille ? Facilement consultable en ligne, c’est une petite mine d’or pour visualiser les taux de criminalité rue par rue. De notre côté, on préfère toujours aller voir sur place, discuter avec les commerçants, guetter l’ambiance à différents moments de la journée. Avez-vous déjà tenté le coup ?
Associations locales, élus de quartier, petit passage en commissariat… autant de ressources pratiques qu’on vous conseille d’utiliser pour prendre le vrai “pouls” du secteur. Rien ne remplace le vécu des habitants pour savoir où sont les nœuds, où la réassurance règne. Et vous, iriez-vous jusqu’à rencontrer vos futurs voisins avant de franchir le pas ?
Comment repérer un quartier tranquille et accueillant ?
On en parle entre amis, en famille, au bureau : comment sait-on vraiment qu’un quartier est calme ? Un trottoir propre, des jardins entretenus, peu ou pas de tags, ça ne trompe pas. Les marchés animés mais bienveillants et une belle présence de petits commerces, on le sent vite, ça respire la tranquillité.
Des coins comme Pointe-Rouge ou Le Prado illustrent bien ce tableau. L’esprit de quartier, vous le percevez dès la première balade. Et si votre futur “chez nous” était avant tout cette capacité à créer du lien ? On vous invite, comme nous, à vérifier l’éclairage public, les offres de transports, les parcs où s’attarder. C’est concret, palpable et souvent fiable.
Quels quartiers choisir pour s’installer sans stress à Marseille ?
On s’est amusés à comparer les quartiers les mieux notés à Marseille, histoire de vous donner un reflet fidèle des “bons coins” qui font consensus. Vous y reconnaissez-vous ?
Quartier | Note sécurité | Prix moyen logement (€/m²) | Accessibilité transports |
---|---|---|---|
Endoume | 9/10 | 5200 | Très bonne |
Mazargues | 8/10 | 4300 | Bonne |
Saint-Barnabé | 8/10 | 4100 | Bonne |
Le Rouet | 7/10 | 3900 | Correcte |
Pointe-Rouge | 9/10 | 5700 | Bonne |
Le Prado | 9/10 | 6100 | Très bonne |
Nous, on est nombreux à apprécier la vue imprenable d’Endoume sur le Vieux-Port, le côté rassurant et studieux de Mazargues pour les familles, la dolce vita balnéaire de la Pointe-Rouge. Le Prado, lui, attire ceux qui cherchent à la fois l’élégance des grandes avenues et la proximité plages. Et vous, où vous projetez-vous ?
Nos conseils pour profiter de Marseille sans craindre pour sa sécurité
Bien vivre à Marseille, c’est d’abord installer dans notre quotidien des réflexes simples et rassurants. Alors, comment faites-vous pour renforcer votre tranquillité chez vous ?
Quels gestes adopter chaque jour pour plus de sérénité ?
On ne le répétera jamais assez : poser une serrure solide, songer à la porte blindée, éviter d’exposer sacs et téléphones dans la rue… autant d’habitudes qui, en vrai, changent tout. On compte sur notre instinct, on échange avec nos voisins, on choisit judicieusement ses horaires de sortie. Un policier nous le glissait lors d’un café quartier : “L’observation et l’écoute, c’est 60% du job. Faites-vous confiance avant tout !”
Investir dans une alarme connectée, discuter avec l’ensemble de la copropriété, organiser une veille collective : et si, tous ensemble, on bâtissait un quartier plus sûr ?
Quelles ressources solliciter pour signaler ou prévenir les risques ?
Nous, on a pris l’habitude de tendre l’oreille aux mairies d’arrondissement, qui ont souvent un service prévention de l’insécurité à disposition. Connaissez-vous les applications mobiles pour signaler un problème en temps réel dans votre quartier ? Indispensables, surtout pour ceux dont l’emploi du temps fluctue…
Les groupes de voisinage, qu’on soit digital ou papoteur de palier, sont aussi nos alliés numéro 1. Les alertes y circulent vite, les bons plans encore plus. On a tous connu une histoire où un simple message sur le groupe a permis de rattraper une situation inconfortable. Et vous, vous allez privilégier l’entraide avant tout ?
Comment s’intégrer et se déplacer sans appréhension à Marseille ?
S’installer dans un quartier marseillais, c’est aussi avoir l’envie de tisser du lien, non ? Discutez, participez à la vie locale, impliquez-vous dans une association, ça change tout. On partage toujours ce ressenti : plus on connaît ses voisins, plus la sécurité devient un réflexe collectif.
Pour les déplacements, ensemble on a listé nos parcours favoris, nos raccourcis le soir, nos applis d’itinéraires sûrs. Avez-vous testé le bus sur les grands axes ? Ou le vélo en journée ? On vous encourage à adopter ce mélange entre prudence et découverte – Marseille offre d’incroyables surprises à ceux qui osent sortir du sentier battu… sans oublier la vigilance, bien sûr.
Rester attentif à l’évolution de la sécurité à Marseille, c’est possible ?
Vous le sentez aussi : rien n’est gravé dans le marbre ! D’une année sur l’autre, d’une initiative citoyenne à une nouvelle politique municipale, la sécurité marseillaise bouge et se réinvente. On garde tous l’habitude de consulter les bulletins de la préfecture, et d’échanger sur les réseaux quand on voit qu’un coin “bouge” – c’est tellement rassurant de sentir que tout évolue, parfois dans le bon sens, si l’on s’y implique vraiment.
Au fond, Marseille ne laisse personne indifférent. Ensemble, on construit une vie plus sûre et plus chaleureuse, quartier après quartier. Vous, seriez-vous prêt à devenir un maillon de cette évolution collective ?
Notre FAQ sur les quartiers de Marseille
Quels sont les quartiers de Marseille ?
Alors là, prépare-toi à faire le tour d’une vraie mosaïque humaine et urbaine. Marseille, c’est 111 quartiers, rien que ça, répartis dans 16 arrondissements. Et crois-moi, chaque coin a son petit caractère. Il y a les quartiers perchés comme Les Camoins, les cœurs historiques comme Le Panier ou Noailles, les côtes animées comme Le Prado, et puis les coins plus résidentiels, comme Saint-Barnabé ou Mazargues. Des ruelles sinueuses du centre-ville aux plages de la Pointe Rouge, on passe en quelques minutes de l’agitation joyeuse au calme d’un village provençal. Ce que j’adore à Marseille, c’est justement cette diversité incroyable : tu veux du street art ? Va à la Belle de Mai. Tu préfères les calanques ? Direction Les Goudes. Il y a toujours un quartier qui te parle, qui te ressemble un peu. Et parfois, on tombe amoureux d’un endroit sans s’y attendre.
Quels sont les meilleurs quartiers de Marseille ?
Ah, les “meilleurs” quartiers… Tout dépend de ce que tu cherches, non ? Si tu veux vivre à fond l’âme marseillaise, tu vas adorer Le Panier : petites ruelles, linge aux fenêtres, apéros sur les marches. Si tu rêves de tranquillité avec vue mer, alors Endoume, Bompard ou Le Roucas-Blanc devraient te plaire. Tu bosses à la Joliette ou tu veux bouger sans voiture ? Le 7e arrondissement autour des Catalans, c’est un mix parfait entre ville et douceur de vivre. Pour ceux qui ont une âme bobo et artistique, La Plaine ou Cours Julien sont juste idéals : cafés indépendants, petits concerts et terrasses au soleil. Et puis, pour une vie de famille plus calme, on regarde du côté de Saint-Barnabé ou Mazargues. Bref, les meilleurs quartiers, ce sont ceux qui collent à ton rythme de vie. Marseille a ce pouvoir : elle te propose un décor sur mesure.
Quels quartiers craignent à Marseille ?
OK, soyons francs. Marseille, comme toute grande ville, a ses coins un peu plus rugueux. Mais attention aux clichés : craindre, ça ne veut pas dire “à éviter à tout prix”. Des quartiers comme les Quartiers Nord (Felix Pyat, La Castellane, Air Bel…) sont parfois mal perçus, surtout à cause de la médiatisation autour de la délinquance. Pourtant, ces quartiers, ce sont aussi des familles, des enfants, des sourires, des odeurs de couscous et de grillades le dimanche. Oui, certains secteurs connaissent des tensions, mais ça ne les résume pas. Le soir, si tu ne connais pas et que tu es seul·e, mieux vaut éviter de t’y balader sans but. Mais pour y vivre, y bosser, y créer des liens ? Beaucoup y trouvent un quotidien bien plus riche que ce que les préjugés laissent croire. Et Marseille, elle, t’apprend vite à ne jamais juger un quartier à sa réputation.
Quels sont les quartiers populaires de Marseille ?
Les quartiers populaires de Marseille ? Ce sont ceux qui font battre le cœur de la ville. Noailles, La Belle de Mai, Belsunce, Le Panier, ce sont des lieux pleins de vie, d’histoires, d’accents qui chantent et de cultures qui se mélangent. Tu y trouves le marché le plus vivant de la ville, des épices d’Orient, des boucheries halal à côté des épiceries arméniennes, des graffitis engagés, des joueurs de dominos sur les places. Ce n’est pas aseptisé, et c’est justement ce qui fait son charme. Les Quartiers Nord aussi sont populaires dans le vrai sens du terme : habités par le peuple, souvent oubliés mais jamais silencieux. Si tu veux comprendre Marseille, tu ne peux pas faire l’impasse sur ces endroits-là. Ils racontent l’histoire de l’immigration, du travail, de la débrouille, de la fierté. Et parfois, d’une solidarité qu’on ne retrouve plus ailleurs.
Quel est le quartier le plus huppé de Marseille ?
Alors là, bienvenue au Roucas-Blanc. Perché entre la Corniche Kennedy et Notre-Dame-de-la-Garde, c’est le coin des villas avec piscine, des vues panoramiques sur la mer, et des portails en fer forgé qui claquent. Tu veux du luxe discret à la marseillaise ? C’est ici que ça se passe. On y croise des artistes, des politiques, des chefs d’entreprise… mais dans un esprit bien plus “chic tranquille” que bling-bling. Et puis, dans le même esprit, le 8e arrondissement, surtout vers Périer, Bonneveine ou le parc Borély, fait partie des zones les plus cotées. Les écoles privées, les plages à deux pas, les commerces haut de gamme : tout est là. Et pourtant, Marseille reste Marseille, même ici. Le luxe se mêle à la gouaille. Tu entendras toujours un “oh fan de chichourle !” même en sortant d’une villa d’architecte. C’est ça aussi, le charme de la ville.
Où sont les quartiers riches de Marseille ?
Ils se dessinent autour du littoral sud et de quelques collines bien choisies. Le 7e arrondissement, notamment Bompard, Endoume ou Le Pharo, abrite de belles maisons et des appartements avec terrasses sur mer. Le 8e, lui, aligne les adresses prisées : Le Roucas-Blanc, bien sûr, mais aussi Pointe-Rouge, Montredon, Le Redon ou encore Bonneveine. Ce sont des coins où les enfants vont à l’école privée, où les gens font leur jogging au parc Borély, et où le calme règne même à quelques kilomètres du Vieux-Port. Il y a aussi les hauteurs de Saint-Barnabé ou Les Trois-Lucs qui attirent les familles en quête d’espace. Ici, on cherche du confort, de la discrétion, du soleil à volonté, et un petit air de Provence tout en restant en ville. Alors oui, ce sont des quartiers plus aisés, mais sans jamais se prendre trop au sérieux. Parce qu’à Marseille, même les riches parlent fort.